Au total, ce sont 34 plateformes qui ont ratifié la nouvelle charte directive pour freiner la désinformation sur Internet. Parmi les plus importantes, on peut citer Microsoft, Twitter, Twitch, Meta et aussi TikTok. Malgré le contexte lié à la guerre en Ukraine et celui de la crise sanitaire, Bruxelles a souhaité consolider les obligations.
La Commission de l’Union européenne a apprécié l’adhésion des groupes technologiques et délégations des sociétés civiles sur ses nouvelles directives. Le texte adopté consolide les résolutions prises déjà en 2018 contre la désinformation. En plus des réseaux sociaux, il implique désormais une chaîne d’acteurs ayant la possibilité de freiner la diffusion des mauvaises informations. Tous ensembles s’assureront que toute exhortation à gagner de l’argent via des informations erronées soit supprimée.
En plus des offres pour consultant en France, le Portage salarial international permet aux indépendants de travailler à l’étranger. Même en tant que travailleurs détachés dans un autre pays, leurs acquis sociaux seront toujours préservés.
Développer des outils stratégiques pour lutter contre la désinformation
Thierry Breton, le commissaire européen responsable du marché intérieur affirme que :
Les plateformes en ligne doivent prendre des mesures beaucoup plus fortes, en particulier sur la question des retombées financières. Personne ne doit pouvoir retirer le moindre euro de la propagation d'éléments de désinformation.
Pour arriver à lutter efficacement contre la désinformation, certains outils seront mis en place. Les internautes devront s’en servir pour reconnaître, analyser et dénoncer les fakes news.
De leur côté, les réseaux sociaux doivent intégrer dans leur système un moyen de contrôler les faits, exploitable pour diverses langues. Ces dispositifs de vérification seront rétribués de manière équitable.
Plusieurs types d’attitudes manipulatrices seront ciblés par ce système de contrôle et de vérification. Ce sont par exemple :
· Le trucage de vidéo ultra-réalisée à l’image des deepfakes ;
· L’inscription avec de fausses données ;
· L’utilisation de logiciels malveillants.
Ce nouveau dispositif envisage aussi l’installation d’une place pour la transparence avec une équipe engagée pour actualiser les informations du texte.
Une durée d’un semestre pour appliquer les recommandations de Bruxelles
Les adhérents au protocole, au nombre de 34, auront un semestre pour mettre en application leurs engagements. Les premiers résultats sont attendus par la Commission européenne en 2023. Mais dans le concret, les stratégies de lutte contre la désinformation par les réseaux sociaux attendent d’être connues.
Ce code de bon comportement est destiné à être reconnu à l’instar du DSA ou Digital Services Act (DSA) qui a été validé par le Conseil et le Parlement européen. Les réseaux sociaux les plus importants savent déjà les préambules définis dans cette charte.
D’un commun accord, les 27 ministres de l’Europe responsables du numérique, ont fait une annonce au mois de mars 2022. Ils interpellaient les grands acteurs des réseaux à consolider leurs actions malgré le climat de guerre entre la Russie et l’Ukraine.
Enfin, ceux qui effectuent des recherches doivent être accompagnés et soutenus dans leurs études. Les plateformes sont donc tenues de leur permettre d’accéder plus facilement à certaines données dans le cadre de leurs analyses.
Le consultant IT avec son statut de consultant expatrié pourra mettre ses compétences au service de groupes internationaux.