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Les Français attendent plus d’initiatives des marques sur les attitudes responsables

Indépendance économique, actions pour l’environnement, recherche de solutions durables… L’orientation économique dans le monde des futures décennies dépendra des réponses à ces préoccupations. Comment les entreprises prendront en compte ces critères dans leur stratégie de développement ? Le groupe M6 par le biais de sa régie publicitaire a mené une étude sur les marques responsables engagées.

L’enquête de M6 démontre qu’il reste encore du chemin pour des attitudes plus engagées. 56 % des citoyens affirment ne pas être ou peu engagés. Ces derniers représentent 39 % de la population. 17 % pour ceux qui ne s’intéressent pas au sujet, dont les CSP- et les hommes sans descendance sont largement majoritaires. La tranche d’âge de ces derniers se situe autour de 35 à 44 ans.

Les consultants IT ou analystes informatiques pourront proposer leurs compétences aux différentes marques. Notamment pour mettre en place les indicateurs de suivi et des conseils d’orientation en tant qu’experts indépendants. Il est possible d’en trouver par le biais d’une entreprise de portage salarial.

Les marques dans l’ensemble font des efforts pour l’économie « verte »

« Le Temps des Marques Responsables », une étude de M6 Publicité est à sa troisième parution. Cette étude met principalement en avant les défis liés à la pollution digitale en prenant en compte plusieurs critères :

       L’amélioration des conduites davantage responsables ;

       L’impression des labels engagés ;

       Les leviers d’échanges décisifs.

Par rapport à 2019, certains enseignements peuvent être tirés sur les secteurs ayant adopté une attitude plus responsable et engagée :

       Le secteur du textile de seconde main (+9 points) ;

       Les domaines des services (+12 points) ;

       L’énergie verte (+11 points) ;

       Les assurances et banques éthiques et solidaires (+11 points).

 

En contextualisant, trois branches progressent considérablement quelques soient les secteurs, à savoir :

       Le bien-être des animaux (+8 points) ;

       La morale (+12 points) ;

       Les labels (+9 points).

À propos des labels, uniquement un quart des sondés pensent qu’ils sont fiables. Même si l’influence sur les opérations d’achats reste « relativement faible ».

Les habitudes des consommateurs changent quand la famille s’agrandit

Les habitudes d’une consommation plus engagée peuvent être modifiées par un changement dans la composition familiale. Comme le fait d’avoir un nouveau-né par exemple. En chiffres, ces modifications d’habitudes liées à l’environnement domestique donnent :

       47 % des parents affirment se faire interpeller lorsqu’ils n’effectuent pas les actes écologiques adéquats, soit +3 points par rapport à 2020 ;

       75 % des Français confient avoir « largement » modifié leur manière de consommation dès la venue de leur progéniture.

En analysant par branche, celle de la distribution occupe encore la tête dans ce classement. Toutefois, un recul de 15 points est constaté par rapport à 2019. De l’autre côté, les enseignes dans les branches de la technique et dans l’énergie enregistrent une excellente progression sur la même période. La filière de la technologie occupe le quatrième rang avec plus de 7 points, et celle de l’énergie le second (+8 points).

Concernant le secteur informatique, Les ingénieurs  peuvent profiter d’un réseau professionnel d’une société de portage pour gagner des parts de marché.

Les consommateurs Français attendent une amélioration

Les Français interrogés attendent un minimum d’évolution sur des points précis :

       La réduction des émissions de carbone (35 %) ;

       Le respect de l’écosystème (42 %) ;

       Un cadre de travail aux normes (31 %) ;

       Une formation sur les bonnes manières afin de préserver l’environnement (55 %) ;

       Les influenceurs peuvent user de leur poids dans les campagnes de communication pour les encourager à réfléchir à la question (57 %). Ce taux monte à 69 % chez les plus jeunes et générations intermédiaires.

Selon l’étude, les 18-24 ans souhaitent faire entendre leur voix et proposent une :

Normalisation de l’inclusivité et une meilleure représentation de la jeunesse plurielle et de ses différents profils.